Marque : Canon                        Modèle : EOS 500N        Format 35 mm 24 x 36

Caractéristiques : Évolution de l'EOS500, ce reflex est sorti en 1996. Par contre, Canon est d'une discrétion de violette au sujet du lieu de fabrication  : pas de "Made in" sous la semelle. Quelque part entre Taiwan, la Chine où la Malaisie sans doute.

Le premier perfectionnement concerne le choix entre les points autofocus qui peut, sur celui là, être effectué manuellement. Ensuite figure le bracketing automatique puis la synchro flash haute vitesse (une rafale d'éclairs très brefs qui couvre le défilement de la fente entre les rideaux) et enfin la mémorisation de l'exposition au flash.

Ca a du être un gros succès car on en rencontre très fréquemment sur les brocantes. Celui-ci était quand même le quatrième que je voyais le même week end. Le tout petit prix et les 2 zooms Canon en monture EF m'ont incités à faire le pas.

Avec le 75-300

Pas bien perfectionné, pas bien rapide mais ça donne de bonnes photos d'amateur.

Mon "petit" garçon plongeant dans le Léman. Je sais, le lac penche mais là, je n'avais vraiment pas le temps de faire le tour du viseur  :.-)

Un jour de calme plat sur le lac.

Là, c'est le lac d'Annecy. Une vedette ancienne baladant des touristes.

Même jour, même lac, un voilier

Une mouette au décollage à Annecy

Chargement d'une locomobile sur un porte-char

Je l'ai embarqué pour trois semaines de cure à Uriage en même temps qu'un EOS-500 chargé en noir et blanc et qu'un numérique EOS-450D, l'idée étant de ne pas se disperser pour les objectifs et de voyager léger.

J'ai bien fait de prévoir léger car je me suis retrouvé embarqué dans un groupe de randonneurs. Ma dernière randonnée "sérieuse" c'était avant les problèmes d'arthrose de la hanche qui m'ont valu une belle prothèse en titane il y a déjà 10 ans. C'est bien simple : les bâtons de randonnées n'étaient pas encore inventés.

Première "petite balade" : quatre heures :-( Là, on avait fait l'essentiel du dénivelé positif, restait à redescendre

Tant qu'à faire, j'ai remis une deuxième couche dans le Vercors : 5 heures de marche et 700 mètres de dénivelé positif (et autant en négatif ce qui est pire).

Y'a comme un trou.

Enfin en haut

Dans la descente

Sur le retour